CHRONOS ET LA DEESSE

Le temps passe et court à la vitesse de l’éclair…
Je me dois de vous raconter cette histoire très claire,
Dû à l’arriéré du cadran, dans un voyage de migrants,
Aux rêves immensément  grands,
Dont le cadre est à l’effigie du PADRE
Et de la MADRE.
En pleine vitesse la déesse donne la cadence,
Et change le temps en mouvance.
Les années sont avalées…
Le futur, lui, rêve du passé.
Dans un grand élan,
Saute et souffle le vent,
Qui vient gêner ce vaurien  de terrien ;
Dans le ciel aérien, l’homme ne vaut rien.
Il charge et tire, se moquant des dates,
Il pousse des ires anciennes, sans hâte,
La déesse mère de Ere,
Dont le passé laisse à désirer, se rafraichit sous la cascade,
Aux nombres incalculables de décades,
Où l’on entend rire,
Les animaux lire,
Qu’ils ne peuvent plus passer «  sous le pont des soupirs »

Moralité :
Ne faites pas une cure, qui ne dure, en un temps pas très sûr,
Et redonne l’espoir, au chrono sonnant l’instant précieux d’un soir.