Le sacre du Printemps
Le Boléro d'Ravel, franchement, magnifique !
Eté en arrivance, frénésie cathartique.
Symphonie enchantée, quel bonheur fabuleux !
Aristote en fut un, héros parmi les dieux.
Criques intimes mystérieuses, bonheur et rires volés…
Roméo fut contour, Juliette fut à ses pieds.
Esquimaux eux l’ignorent, papous le subodorent.
Diogène philosophait, Hugo en fait, l’honore !
Une maison bleue s’invite, Maxime se fait divin.
Prélude à l’existence, les couples se font câlins.
Rires et chansons pavoisent, le tempo est rythmé.
Instinct vite retrouvé, Homo Sapiens enjoué.
Nuage et papillon, si merveilleux duo.
Tracté par les courants, il s’envole vers le beau.
Emporté par l’emphase, les âmes sont étonnantes.
Muses de la nuit divine, leurs effluves sont aimantes.
Petite ode lancinante, il s’avance en douceur
Superb' printemps magique, pénètre en ma demeure.